#Le cancer et le Pardon
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"On est toujours des singes essayant d'exprimer nos pensées avec des grognements, alors que l'essentiel de ce que l'on aimerait communiquer reste coincé dans notre cerveau."
J'ai terminé "Là où les arbres rencontrent les étoiles", de Glendy Vanderah.
On dirait un livre feel good en lisant le résumé: C'est l'histoire d'une doctorante en ornithologie, Jo, qui rencontre un jour une jeune demoiselle, Ursa, lui annonçant qu'elle est une extraterrestre, qu'elle a emprunté le corps d'une enfant qui venait de décéder et qu'elle cherche 5 miracles, après quoi elle retournera sur sa planète. Jo, plutôt habituée à être une ermite dans la forêt, dans ses recherches et dans sa méfiance va voir son quotidien s'enchanter petit à petit. Les personnages : Jo, Ursa et Gabe (le voisin) sont aussi attachants qu'ils sont cabossés.
Joli pitch, lecture chill du dimanche aprèm ? Sur Babelio, les critiques les moins sympas parlent d'un style trop simple, d'une fin attendue et un peu trop naïve mais c'est précisément ce qu'on attend d'un livre feel good, non ?
Ce sera un peu plus profond que ça, puisque l'histoire abordera sans filtre des sujets plus graves comme notamment le cancer, la dépression, le pardon, l'amour et la résilience.
J'ai passé un moment agréable, la plus grande partie de l'histoire se déroule dans la forêt, j'ai trouvé les descriptions immersives et je ressentais comme un apaisement quand les personnages revenaient de la ville, prenaient des routes de plus en plus isolées pour ensuite se retrouver parmi les arbres. Je me suis moi aussi attachée à Ursa, sans savoir avant la fin de l'histoire si elle venait effectivement d'une autre planète ou si elle s'était inventé une histoire pour remplacer son passé douloureux.
Bon, il y a une histoire d'amour entre Jo et le voisin, ça n'apporte pas grand chose à l'histoire mais ça complexifie les personnages.
⭐⭐⭐⭐⭐ (encore 5 étoiles, ça va devenir une habitude de lire des pépites !)
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« En mai 2020, lors d'une conférence sur YouTube en compagnie de Thierry Casasnovas, Jean-Jacques Crèvecœur et Silvano Trotta, Schaller qualifie le Covid-19 de « pseudo virus » et les vaccins d’« immense supercherie. La même année, il affirme que le futur vaccin anti-covid-19 serait mortel, dans ce qui s'apparente à du conspirationnisme, et que la chimiothérapie n’aurait jamais soigné un cancer, sans apporter de preuves scientifiques de cette affirmation. » [source : wiki, le site conspirateur qui dénonce les conspirationnistes, c.à.d. tout ce qui ne convient pas aux pousheurs, wef, bill gatesionistes et autres collèges des médecins cegeps des paydecins]
San Sebastian (Donostia) 3 septembre 2020 - Espérons que cette surfeuse a survécu au tsunami de complotisme sanitariste engendré par big pharma et répété ad nauseam par les minu$tre$ de la $anté, les paydecin$ et les journalope$ - pour avoir voulu [justement] penser par elle-même, se désenfermer, faire une activité physique.
NI OUBLI NI PARDON
#pense par toi-même : tu vaux plus que tva radio-canne ou ton pousheur de famille#big pharma est toujours en bonne santé#big pharmla#covid&corruption#covid au cerveau#covid de sens
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⚖️ Gare aux jugements hâtifs ! ✝️
Chuck Swindoll raconte ce qui s’est passé lors d’une série de conférences en Californie :
«Un homme s’est approché et m’a dit : “J’ai attendu cette semaine si longtemps que je vais boire vos paroles !” Je l’ai remercié. Mais le dimanche, lors de ma première intervention, l’homme s’est assoupi. J’ai pensé qu’il avait fait un long trajet et qu’il devait être fatigué. Pourtant, ça s’est reproduit chaque soir, jusqu’à la fin de la semaine. J’étais embarrassé : mes sermons étaient-ils à ce point soporifiques ? Mais voilà que le vendredi matin, la femme assise à ses côtés est venue me dire : “Merci pour vos paroles et votre ministère. Mon mari est atteint d’un cancer en phase terminale, et les médecins ne lui ont donné plus que quelques semaines à vivre. Quand nous avons parlé de ce qu’il voulait faire avant de mourir, il m’a dit : ‘Je veux aller écouter Chuck Swindoll !’ Mais voyez-vous, son traitement contre la douleur provoque la somnolence. Je voulais vous présenter mes excuses, mais aussi vous dire que vous avez fait de cette semaine la meilleure de sa fin de vie !”»
Swindoll a déclaré plus tard qu’il aurait voulu se cacher dans un trou de souris, honteux d’avoir porté un jugement et d’avoir réagi sans s’être renseigné.
Pourquoi Jésus a‑t-il dit : «Ne jugez pas, afin de ne pas être jugés» ? Parce qu’il peut y avoir, dans la vie d’une personne, des circonstances et des facteurs que vous ignorez. Alors, au lieu de la juger, accordez-lui la même grâce que celle que Dieu vous accorde !
Prière du jour :
Seigneur, je te demande pardon de parfois juger les autres.
Parole du jour de Bon Gass,
24 octobre 2024
© Copyright 2024 - Parole du Jour
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Jugements
Des facteurs que vous ignorez
Jeudi 24 Octobre
Gare aux jugements hâtifs !
« Ne jugez pas, afin de ne pas être jugés » Matthieu 7.1 "Je suis convaincue que des personnes seront portées par les messages de Parole du Jour, ce qui les incitera à profondément changer en fonction de que Dieu a décidé pour eux." Hélène Je fais un don
Chuck Swindoll raconte ce qui s’est passé lors d’une série de conférences en Californie : « Un homme s’est approché et m’a dit : "J'ai attendu cette semaine si longtemps que je vais boire vos paroles !" Je l'ai remercié. Mais le dimanche, lors de ma première intervention, l'homme s’est assoupi. J’ai pensé qu'il avait fait un long trajet et qu'il devait être fatigué. Pourtant, ça s'est reproduit chaque soir, jusqu’à la fin de la semaine. J’étais embarrassé : mes sermons étaient-ils à ce point soporifiques ? Mais voilà que le vendredi matin, la femme assise à ses côtés est venue me dire : "Merci pour vos paroles et votre ministère. Mon mari est atteint d'un cancer en phase terminale, et les médecins ne lui ont donné plus que quelques semaines à vivre. Quand nous avons parlé de ce qu'il voulait faire avant de mourir, il m’a dit : 'Je veux aller écouter Chuck Swindoll !' Mais voyez-vous, son traitement contre la douleur provoque la somnolence. Je voulais vous présenter mes excuses, mais aussi vous dire que vous avez fait de cette semaine la meilleure de sa fin de vie !" » Swindoll a déclaré plus tard qu'il aurait voulu se cacher dans un trou de souris, honteux d’avoir porté un jugement et d’avoir réagi sans s’être renseigné. » Pourquoi Jésus a-t-il dit : « Ne jugez pas, afin de ne pas être jugés » ? Parce qu'il peut y avoir, dans la vie d’une personne, des circonstances et des facteurs que vous ignorez. Alors, au lieu de la juger, accordez-lui la même grâce que celle que Dieu vous accorde !
B365 — Plan de lecture 2 Chroniques 3
Prière du jour Seigneur, je te demande pardon de parfois juger les autres.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2024 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2024 PHARE MEDIA, 39-41 avenue de Colmar, 68200, Mulhouse, France
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On rappelle que quand mon père avait un cancer et devait être opéré sous anesthésie générale, il m'avait dit "tu souries jamais en ce moment, ça me gâche les vacances"
Pardon grand prince d'avoir des vrais problèmes ????
En train d'essayer de résumer le DRAMA moi/bestie/collègue (ex) pref dans mon journal et vraiment, c'est digne d'une telenovela mdr
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Eté 1892 - Champs-les-Sims
6/30
Aussi, ai-je été idiote de croire que je pouvais me jouer de lui aussi facilement, aidée ou pas par mes dons étranges. Si bien entendu le coeur de cette affaire est au-delà de sa compréhension pour qu’il puisse le déduire, il a attrapé au vol toutes mes autres erreurs. J’étais si sure de moi que je n’ai pas rédigé mes fausses lettres avec assez d’attention, j’ai été trop directive par rapport à mon habitude, et tant d’autres petits indices que j’ai nonchalamment exposé à sa vue en attendant qu’il les ramasse. Quelle idiote j’ai été ! Toutes ces années m’ont bien trop mise en confiance.
C’est dans cette véranda qu’il est venu me confronter. Et si je pense lui avoir vaillamment résister, je savais que ce ne serait qu’une question de temps avant qu’il ne trouve un moyen de me confondre. Fort heureusement, seuls quelques jours nous séparaient de mon départ, à moi et Clémence. Aurait-il remué ciel et terre qu’il ne nous aurait jamais retrouvées ! Il me suffisait dès lors de redoubler de prudence et d’esquiver avec subtilité ses sollicitations.
Transcription :
Lucrèce : Pardon ?
Maximilien : Tu ne fais que dire que Clémence semble aller mieux, mais que son teint est à faire peur au point qu’elle refuse de paraître devant nous.
Lucrèce : As-tu pensé aux filles ? A ce que cela leur ferait de voir leur mère aussi cireuse qu’un cadavre ?
Maximilien : Je n’y crois pas. Ses dernières lettres portaient tes tournures de phrases et tes manies de vocabulaire. Je sais que c’est toi qui les écrit. Alors dis-moi, qu’est-ce que tu me cache ?
Lucrèce : Tu divagues ma parole ! Pourquoi mentirai-je ?
Maximilien : Cela je ne le sais pas encore, mais je compte bien aller au fond de cette histoire.
Maximilien : Et ce n’est pas le seul élément étrange que j’ai noté. Le jour de son départ, j’ai de vagues souvenirs de l’avoir escortée jusqu’à la diligence et de lui avoir dit adieu. Je n’étais pas dans mon état normal.
Lucrèce : Alors quoi ? Après avoir faussé des lettres tu vas m’accuser de t’avoir fait boire à ton insu ?
Maximilien : Je ne sais pas encore comment tu t’y est prise, mais je trouverai. Dès que je pense à un élément de la maladie de Clémence, tu es derrière. C’est toi qui nous a annoncé la tuberculose alors que le médecin optait pour un cancer, toi qui a trouvé le sanatorium, et encore toi qui a réglé tous les détails de son voyage. Je n’ai au voix au chapitre nulle part.
Lucrèce : C’est vrai qu’il n’est pas dans tes habitudes de ne pas tout régenter. N’est-ce pas plutôt cela que tu veux me reprocher ? D’avoir pris une initiative sans toi ?
Maximilien : Clémence est ma femme, toi tu es sa belle-soeur et son amie, cela ne va pas plus loin. Je n’arrive pas à croire que je t’ai laissé tout organiser seule, tu t’es débrouillée pour me tenir à l’écart.
Lucrèce : Maximilien, tu es ridicule. Je vais me retirer en haut avant que tu ne gâche définitivement notre relation et prie pour qu’Adelphe n’ait pas entendu tes accusations idiotes. Il t’admire trop pour s’infliger ta déchéance et il s’empresserait d'en rapporter la teneur à Mère. Ni toi ni moi n’y avons intérêt.
Maximilien : Lucrèce pour l’amour de Dieu ! Je l’aime tant, pourquoi me faire cela ?
#lebris#lebrisgens3#legacy challenge#decades challenge#history challenge#nohomechallenge#ts3#Sims 3#Sims Stories#simblr#Lucrèce Le Bris#Auguste Le Bris#Maximilien Le Bris#Clémence Le Bris#Juliette Le Bris#Rose Le Bris#eugénie le bris#Adelphe Barbois
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Lettre de l’Au-delà
Un petit texte que j’ai ecrit en hommage à tous ceux qui ont perdu quelqu’un.
Ma chère Angèle,
Si jamais tu lis cette lettre, tu sauras que ma vie aura fini. Les raisons pour lesquelles, je m’adresse à toi, échappent à ma compréhension. Ma famille y passe sous mes yeux, et la dépression m’envahit comme si elle voulait me prévenir de mon sort. Je crève dans le noir ! Que puis-je faire !? Rien…Ma douce fleur entrevoie le désespoir caressant ses faibles pétales. On dirait la mort, mais c’est encore pire que je le pensais, car je ne meurs pas réellement. Tu te souviens quand on nous a pris en photo ? Nos enfants étaient là, ils arboraient des sourires sublimes. Tu voulais catégoriquement que le tableau fût posé dans le vestibule, sur le mur de l’entrée. Lorsque que je te demandai pourquoi un tel choix, tu me répondis de ta voix douce : C’est ce que nos yeux verront en premier, dès que nous entrerons chez nous on saura pourquoi il faudra y retourner. Franchement, je ne compris pas du tout, je savais pourtant qu’il s’agissait d’une sorte de promesse, une promesse qui me hanterait à jamais.
Ceci est devenu une cérémonie, celle d’arriver chez moi, contempler toute la façade durant à peu près vingt minutes et franchir enfin cette porte remplie de solitude. Une fois ma veste enlevée, j’admire avec difficulté les paupières à peine ouvertes de mes petits morveux. Il semble qu’ils me dévisagent à travers ce tableau formidable décorant le hall de ma demeure. Oh Léopoldine !! Ma petite fille, si je t’avais empêché d’embarquer ce jour-là. Mais comment l’aurais-je pu faire ? J’étais si loin...Tous les jours, le chagrin me déchire avec ses mots de cristal, quoique fragiles, ils sont vivement blessants. Tu l’as quittée, tu l’as abandonnée, et te prends-tu pour un père ? – me répétait cette voix. Je me rappelle que tu m’avais téléphoné et m’avais demandé de retourner pour son anniversaire. J’écrivais comme d’habitude, les heures s’étaient rapidement écoulées, et la nuit tomba soudainement en me reprochant en colère. Je l’avais complètement oublié, son anniversaire, le jour où elle a eu ses dix-neuf ans. Le jour d’après, elle et son conjoint montaient un petit canot sur la Seine, mais hélas, ils ne reviendraient point nous embrasser avant de dire bonsoir.
Léopoldine fut le prénom que mon père lui avait donné pour rendre hommage à mon premier fils. Tu te souviens ? Il voulait que notre petit ne tombât pas dans l’oubli. Léopold !! Comment l’oublier. À peine trois mois d’âge, il décéda. Dépression, tristesse, angoisse, mélancolie, amertume… Tu étais en larmes, et moi encore une fois, impuissant face à tes joues pâles et ton tendre visage. C’est la première fois où je constatai que le monde m’en voulait, peut-être, pour l’avoir aussi oublié. La misère était quelque chose de normal dans celui-ci, et j’en faisais désormais partie.
Ma chérie, je voulais que tu ne pleurasses plus. Bien sûr que la pluie nous détend de temps en temps, ne fût-ce que pour un instant, elle nous soulage le cœur avec tendresse. Cependant, je ne pourrais plus résister, si je voyais une seule larme de plus couler sur tes pommettes. Il y eut un moment où j’imaginai et crus que ta fabrique de larmes avait fait faillite, mais nos petits n’arrêtaient pas de décéder. Il était donc impératif que tes yeux demandaient aux nuages de laisser tomber les gouttes de ceux qui nous quittaient pour de bon. François-Victor, atteint de tuberculose, à l’âge de quarante-cinq ans nous dit adieu sans mentionner aucun mot, car les morts deviennent malheureusement muets. Tu étais bouleversée, les phrases se cachaient derrière ta bouche et je te répétais tout le temps : Ça ira mieux, nous serons plus forts que jamais ! Mais quel stupide ! Nous venions de perdre notre fils ! Est-ce que je prétendais t’en parler comme si tu venais de perdre un animal de compagnie !!? Je n’ai qu’une chose à te dire : Pardon…
Et maintenant je dirais le Karma. Sincèrement, j’avais l’impression que nous nous étions trompés de monde. Il nous détestait et méprisait tous nos actes. Nonobstant ces fléaux, je me réitérais sans arrêt qu’il fallait apprécier les beautés humbles que celui-ci nous apportait. Pourtant, je n’attendais pas que le seul fils qui me restait dût aussi partir vers l’obscurité. Mort au même âge que François-Victor et atteint d’un cancer, Charles allait mourir à Bordeaux. Tu ne t’habituais jamais, la douleur était toujours présente, mais je commençais à craindre la perte, la chute, l’écroulement, voire l’extinction de ma famille. Il était évident que ceci n’était pas mon seul problème, je devais fuir aussi le gouvernement voulant ma tête, mais mon majeur souci était de demeurer dépourvu de mes proches dans cet enfer qui brûlait de plus en plus.
Adèle… Notre dernière fille portant le même prénom que toi. La mélodie de sa voix était aussi fascinante que son talent pour la musique. Elle était douée pour le piano, toutes les notes qui se reposaient sous ses doigts respiraient de la joie et même de l’extase. La nuit était le principal public accompagnant ses insomnies couvertes de magie. Je me souviens à quel point tu adorais t’asseoir à côté d’elle pour apercevoir, au bout de quelques secondes, la manière dont la salle de musique devenait féerique. L’ivresse de ses chansons remplissait nos cœurs de beaux moments en envoûtant nos corps. Et la brise de la pluie devenait le confort dont nous avions tellement besoin. En vrai, je n’en peux plus…elle me manque tellement…tu me manques… mes petits me manquent…ma famille ! Je regrette ma vie d’autrefois. Quant à ma petite fille, elle devint folle après avoir souffert le chagrin d’un amour impossible, et moi, je croyais aussi sombrer dans la folie…Je mourais doucement ma chérie… Ma vie perdait le sens. Pourquoi continuer en vie quand j’existais seulement ? Est-ce que l’enfer se trouve-t-il ici dans le royaume des vivants ? Adèle a sûrement découvert les misères déchirantes de ces terres. C’est ainsi qu’elle a préféré s’effondrer dans la démence que rester une seconde de plus dans ce monde si dédaigneux et réel.
À chaque fois, je remémore notre première rencontre, celle où nous étions des enfants. Qui aurait imaginé que nous aurions cinq enfants. Nous aimions tant marcher main dans la main, yeux dans les yeux, comme s’il y avait une sensation incompréhensible qui nous consolait, apparemment, la naïveté abritait notre peau depuis longtemps. Ton sourire produisait des frissons dans mon ventre, les papillons me chatouillaient de temps à autre. Quand j’étais à tes côtés le mot réel disparaissait effrayé, les contes de fées laissaient d’être un rêve de morveux, et l’espoir fleurissait de manière incontrôlable. C’était comme mourir, on abandonnait la réalité pour un instant, et tout était oublié, le mépris, le désespoir, la violence, la haine, le dédain, on perdait de vue tout ce qui nous bouleversait. Il suffisait que nos lèvres se rejoignissent pour que le monde laissât d’exister. Ainsi, la mort semblait être le salut plutôt que la vie. C’est plus difficile de vivre quand on reste seul, complètement plongé dans la solitude, sans aucune âme qui t’accompagne dans les fortes tempêtes. Je t’ai vue aux yeux, ton corps pendu dans mes bras, moi, sans puissance pour arrêter mes larmes. La douleur était insupportable ! Le sueur coulait partout, et le froid brûlait bien au fond de moi. L’angoisse, la terreur, l’épouvante! Pourquoi étais-je voué à la souffrance? Tu partais…Tes douces paupières se fermaient lentement, ma voix ne sortait pas, ton corps devenait blême et triste : Mon chéri, laisse la photo au vestibule-me dis-tu. Tes derniers mots…Ce que tu ne savais pas c’était que je n’avais jamais changé le tableau de position, et qu’il serait précisément l’inspiration de cette lettre. J’aurais voulu partir avec toi, mais je n’ai même pas pu assister à ton enterrement. J’avais renoncé à la vie depuis le décès de Léopoldine, j’étais mort ce jour-là, mais l’existence continuait à me tirer dessus. Je suis maintenant un cadavre qui écrit, un cadavre qui préférait quitter ce monde pour voir, même si c’est pour la dernière fois, ton doux sourire…Celle qui me fera rêver à jamais…
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Comment 6 ou 7 habitudes peuvent changer complètement ma vie ? (Andrew Ferebee)
1. Dormez plus de 8 heures par nuit
Vous NE POUVEZ PAS être à votre plus haut niveau lorsque vous manquez de
sommeil.
À moins que vous ne soyez comme Dwayne Johson et que vous ayez des besoins de sommeil exceptionnellement faibles, vous devez dormir au minimum 7,5 heures par nuit. Personnellement, je recommanderais 8 à 9 heures.
J'avais l'habitude de dormir 6 heures et j'essayais de faire passer mes journées.
C'était foireux et je n'ai jamais accompli ce que je voulais.
Finalement, j'ai réalisé l'importance du sommeil et je me suis donné la permission de dormir autant que nécessaire.
Quand je faisais cela, même si je ne me réveillais qu'à 10 heures du matin, mes journées étaient 2 à 3 fois plus productives que les jours où je me réveillais tôt et souffrais du manque de sommeil.
Reposez-vous. Prenez soin de votre corps et il vous rendra la pareille.
2. Prenez des pauses stratégiques
Vous ne pouvez pas réussir, à long terme, sans prendre volontairement du temps pour recharger vos batteries et refaire le plein d'énergie.
Vous avez besoin de pauses, de vacances et de temps libre pour que votre cerveau puisse traiter de nouvelles informations et penser plus clairement.
Ce temps libre vous donnera un aperçu unique des problèmes auxquels vous êtes confronté et des solutions à ces problèmes. Cela vous aidera à restaurer votre énergie, votre motivation et votre enthousiasme pour votre métier et vous évitera de vous épuiser.
Prenez au moins 2 jours complets de repos tous les 7 à 10 jours (je recommande de faire une «désintoxication numérique» et de retirer tous les appareils électroniques de votre vie pendant cette période).
Prenez une semaine de congé tous les trimestres et essayez d'avoir de 2 à 3 semaines de vacances chaque année.
Je vous promets que cela aura un impact positif plus important que vous ne pouvez l'imaginer.
3. Faites votre lit
Faire votre lit prend 2 minutes.
Mais c’est une petite activité qui demande de la discipline car il n’y a pas de vraie raison de le faire.
Bien sûr, cela vous permet d'accomplir une tâche avant de commencer votre journée.
Mais ce n’est pas comme si faire votre lit augmentera vos revenus, vous rendra plus productif ou augmentera votre sex-appeal.
C’est l’exercice ultime de la futilité.
Mais vous devriez quand même le faire.
Faire votre lit tôt le matin vous met dans un état d'esprit de discipline et production dès le début de votre journée.
C’est aussi une motivation puissante pour rester éveillé au lieu de ramper sous un drap chaud.
4. Arrêtez de vous plaindre
Se plaindre est comme un cancer dans votre âme.
Vous avez beaucoup de raisons d'être reconnaissant.
Mais à chaque fois que vous vous plaignez, vous vous dites que votre vie est nul et que les choses ne sont pas comme elles devraient être (même quand elles vont bien).
Alors arrêtez de vous plaindre.
C’est comme un poison.
Cela vous distrait du bien et vous incite à vous concentrer sur tout ce qui ne va pas.
Les autres gens vous aiment moins, cela vous fait manquer des opportunités et vous empêche de vivre une vie incroyable.
Achetez un élastique et placez-le sur votre poignet droit.
Si vous vous plaignez tout au long de la journée, placez-le sur votre poignet gauche.
Votre objectif est de durer 30 jours avec cet élastique restant sur votre main droite.
5. Exprimez votre gratitude et votre pardon au quotidien
Chaque jour, prenez le temps d'exprimer votre gratitude et votre pardon au quotidien.
Sortez simplement un stylo et une feuille de papier et passez 5 minutes à écrire sur les choses pour lesquelles vous êtes reconnaissant et vous ressentez vraiment de la gratitude venant dans votre âme.
Ensuite, passez quelques minutes à vous pardonner consciemment d'être une personne imparfaite.
Peut-être avez-vous tergiversé sur un projet important, vous êtes-vous mis en colère contre votre conjoint, vous avez sauté la séance de sport ou quelque autre chose de «terrible».
C'est bon, écrivez-le et pardonnez-vous tout en vous engageant à faire mieux la prochaine fois.
Personne n’est parfait et il est important que vous gardiez cela à l’esprit et que vous vous pardonniez lorsque vous vous trompez.
6. Exécuter les idées aussi vite que possible
Le succès aime la vitesse.
Vous pouvez passer 20 ans à réfléchir et à essayer de trouver l'idée parfaite sans jamais agir.
Ou vous pouvez essayer 20 idées différentes, échouer à 19 d'entre elles, puis réussir magnifiquement avec la dernière.
Exécutez les idées le plus rapidement possible.
Il suffit de prendre des mesures rapides mais imparfaites et de pivoter lorsque vous recevez de nouvelles informations.
L'argent et le succès aiment la vitesse. Alors donnez-leur.
7. Oubliez la «gestion du temps» et concentrez-vous là-dessus…
On m’interroge souvent sur mes tactiques et techniques de gestion du temps.
Ma réponse est généralement la même…
«Je n’en ai pas»
La raison simple est la suivante.
LA GESTION DU TEMPS NE FONCTIONNE PAS!
Le temps dont vous disposez pour accomplir une tâche n’a pas d’importance si vous n’avez pas l’énergie et la concentration nécessaires pour le faire correctement.
Je me suis rendu compte que je consacrais trop d’efforts à gérer mon temps et pas assez à gérer mes niveaux d’ÉNERGIE.
Alors j'ai fait un changement.
J'ai commencé à dormir plus de 8 heures par nuit
J'ai commencé à aller à la salle de sport tous les jours
J'ai pris des pauses de 90 minutes au milieu de la journée pour faire du vélo sur la plage et manger un bol d'acai
J'ai commencé à méditer
J'ai eu une alimentation plus saine
Et j'ai intelligemment utilisé des suppléments pour améliorer mes performances
Ce simple changement m'a permis de tripler sa production à l' heure.
Lorsque j'ai commencé à prendre mieux soin de mon corps, j'avais plus d'énergie, je pouvais me concentrer plus longtemps et j'ai pu accomplir une semaine de tâches en un après-midi.
La plupart des gens sous-estiment l'importance de l'énergie et surestiment l'importance du temps.
Si vous voulez être aussi productif que possible, oubliez tout de la gestion du temps.
Au lieu de cela, concentrez-vous sur les niveaux d'énergie nécessaires pour utiliser efficacement ce temps au maximum.
Dormez bien, soulevez des poids 3 fois par semaine, prenez des pauses fréquentes tout au long de la journée, mangez de la vraie nourriture saine, prenez le temps de méditer et utilisez les suppléments dont vous avez besoin pour vous sentir et faire de votre mieux.
Cette tactique est meilleure que 100 techniques de gestion du temps combinées.
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J’ai peur de perdre mon enfant
Le 13 août 2020 aura changé ma vie à tout jamais. Mon enfant est malade.
Mon chemin, déjà solidement pavé d’obstacles, a atteint le summum du cauchemar. Ces maux de tête ont changé de nom pour celui de tumeur au cerveau. Pardon? Ce petit cœur au grands yeux rempli de joie, de beauté, de bonté, d’humour, de curiosité, de persévérance a le cancer.
Le plus difficile dans tous ça, est d’attendre avec un mince espoir qu’ils se soient trompé. Lorsque les conversations quotidiennes sont avec des Neurochirurgiens en pédiatrie avec 30 années d’expérience dans ce seul domaine pour toutes ces années, ce ne sont pas des emojis d’arc-en-ciel et de mains en prière qui te donnent espoir.
Je porte mon p’tit Jésus dans mon cou pour avoir un compagnon en tout temps. Je parle, je pense, je pleurs, je cris avec lui. Il m’accompagne. Parfois j’me choque après et je lui demande: quessé que j’ai faite criss? Pourquoi tu m’test encore?
Aujourd’hui, j’ai traversé la colère. J’ai même demandé à mes chums: Crissez- moi la paix avec vos pensées et vos ondes positives pis vos toutous avec des cœurs sur messenger. J’ai l’impression que ces affaires positives-là frappent un mur quand ils m’approchent. C’est comme ça que je me sentais aujourd’hui.
Quand tu viens d’apprendre une telle nouvelle et que tu vis à l’hôpital, cet endroit qui est devenu ma bulle, tu te retire dans le couloir devant les ascenseurs, pour que ton enfant qui a besoin de tout ton amour, ta force, ton énergie, ton positivisme ne te vois pas en larme à prier que ce ne soit qu’un mauvais rêve. Personne pour te réconforter. Un feu roulant de questions, de peurs, de tourments, d’idées noires, très noires.
Je vis la pire peur qu’il y est, J’ai peur de perdre mon enfant.
Julie
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''La liberté devient la règle, MAIS...''
Conférence de presse du premier sinistre (car comment éviter ce mauvais jeu de mot ?) : l'homme suinte l'ennui. Sa fausse modestie est une fatuité sans limite. Si on va au fond des choses, elle est à l'image de notre administration –dont il est un mannequin ! Exigeant pour les autres, méprisant pour ses semblables, sûr de son bon droit, de sa supériorité, du bien-fondé de chacun des mots qui tombent de sa bouche et ne peuvent (il le sent, ça se sent !) que susciter l'admiration des foules !
Le rituel est immuable, et le plan du ''numéro de déséquilibriste'' connu d'avance : reprendre tout l'historique à chaque fois, surtout si ça n'apporte rien : il est fondamental, voyez-vous, de faire croire qu'il y a cohérence, vision, homogénéité et persistance... au point que même le hasard devient la traduction dans les faits d'un plan organisé. C'est pitoyable, une telle puérilité à ce niveau de responsabilités ! Immédiatement après, c’est le chapitre ''remerciements'' : tout est bon pour tenter de reconquérir des électeurs, maintenant que la date des élections a été refixée ! C'est interminable, et chaque ministre va ajouter les siens... C’est à mourir d'ennui. Vient enfin ce pour quoi on s'était massé devant nos postes : les nouvelles. Ah ! Comme c'est difficile de donner une bonne nouvelle ! On sent que ça lui fait mal, qu'on lui arrache une partie du pouvoir gigantesque et immérité qu'il s'est arrogé...
Le commun des mortels, vous et moi, ne réalisons pas à quel point le scandale du sang contaminé a pu créer de ravages dans la classe politique. Nous avons devant nous un homme littéralement terrorisé qu'on puisse un jour lui reprocher d'avoir pris une décision ! Il est l’illustration-même de ce que peut donner l’absurde principe de précaution poussé à la caricature. Il passe son temps à rappeler que toutes les décisions ont été prises par Pierre, Jacques, ou Sébastien, par ''Monsieur le ministre des solidarités et de la santé'', par ''Monsieur le ministre de l'Education nationale'', par le professeur Delfraissy bla bla bla... (moi, je ne me vanterais pas d'une référence aussi peu reluisante, mais au fond, chacun fait comme il veut.).
A sa décharge, il faut reconnaître qu'il n'est pas facile de dire, devant la foule immense des téléspectateurs : ''On a eu tout faux. On a paniqué. Notre manque de ''vista'' était responsable de tout... alors on a fait n'importe quoi. On a compris que tous nos discours étaient biaisés et toutes nos mesures surdimensionnées, souvent inutiles, parfois contre-productives ! Mais tout ce cirque est fini. On vous demande pardon de vous avoir confinés pour rien et d'avoir foutu par terre toute notre économie... On va essayer de gérer un peu moins mal la vraie crise, celle qui vient, financière et économique, celle qui va nous exploser à la gueule vers la fin de l'été (NDLR - six mois après le pic, disent tous les auteurs), et qui est due, celle-là, aux conséquences de notre nullité à gérer la précédente... qui, en fait, n'en était pas une. Il n'y a jamais eu de risque de ''deuxième vague'', et vous êtes donc libres, sans bémols, sans réserve, sans ''mais..'' Et... encore une fois : ''Pardon'' !
Le monde était entré dans une période de grands vents et de menaces sérieuses. Tous les leaders ont cru voir là une chance unique que tout le monde se mette à regarder ailleurs... en croisant les doigts pour que, après cette tempête, les difficultés politiques et économiques se soient calmées. Ils ont tenté, tous autant qu'ils sont, de nous faire croire que ce coronavirus était comparable à la grande peste de 1538, à la grippe espagnole de 1916-1919, ou au choléra de 1830. Perdu : c'était plus proche d'une bonne grippe annuelle (plus de décès qu'en mai 2019, mais moins qu'en mai 2018, par exemple) Regardons les chiffres, comme nous le recommandons ici depuis fin février : 350 à 400 000 morts dans le monde entier... 30 000 en France... Tous ces drames, individuellement insupportables, sont statistiquement à peine visibles, sur les courbes donnant les décès annuels.
On nous a menacés (et on continue de le faire !) d'une ''seconde vague'' dont personne n'a jamais trouvé la trace. On nous a menti sur à peu près tous les sujets, à coup d'arguments soi-disant scientifiques ''sortis'' d'autorités qui n'avaient aucune compétence en dehors de leur spécialité (et encore ! Le rescapé que je suis de 2 cancers, de plusieurs accidents et de nombreux autres énormes pépins de santé dont chacun m'a mis face à face avec ma propre mort... sait ce que vaut réellement la majorité de ces ''pontes''. J'ai autant de récits précis et circonstanciés que vous voulez, avec références, dates, noms. Et aussi -j'y tiens- quelques cas qui ont forcé mon admiration et ma reconnaissance : j’ai vu aussi de vrais grands hommes !)
Mais personne ne nous a dit que les pathologistes italiens (pas moins bons que nos ''experts'', mais ayant une ''longueur d'avance''), sont arrivés, après l'autopsie de 50 morts par coronavirus, à la conclusion que le covid-19 est ''victime'' d'une grave erreur de diagnostic physiopathologique : ce n'est pas une ''pneumonie" mais une maladie du sang, et tous les systèmes d'assistance respiratoire sont donc inutiles, puisque le virus non seulement tue les pneumocytes de ce type, mais il utilise la tempête inflammatoire pour créer une thrombose vasculaire endothéliale (les médecins parlent d'une coagulation intravasculaire disséminée).(NDLR - J'ai découvert hier cette information récente, dans l'AFP (in ''Fact finding AFP''). '
‘’Comme dans la coagulation intravasculaire disséminée, continue le communiqué, le poumon est le plus touché car il est le plus enflammé, mais il y a aussi une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral et de nombreuses autres maladies thromboemboliques''. Dans l'urgence, les protocoles se sont concentrés sur les thérapies anti-inflammatoires et anti-coagulantes, et ont laissé les thérapies antivirales, pour eux inutiles... ce qui explique le faible taux de mortalité du Maroc (moins de 200 morts pour une population égale à la moitié de la population française) qui avait choisi dès ''J zéro'' les protocoles du Pr Raoult, aujourd'hui interdits... puisqu'il semblerait de plus en plus qu'ils étaient les seuls efficaces. A vérifier, bien entendu. Mais sachant cela, même si ça n'est pas encore passé par les fourches caudines des ''Experts'' qui bloquent tout ce qui ne vient pas d’eux, le discours d'aujourd'hui m'a paru complètement surréaliste. Nous en reparlons... après le pont de la Pentecôte : espérons que l'Esprit Saint nous éclairera !
H-Cl.
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COMMENT RÉALISER UN SAVON POUR SE PURIFIER DES AVORTEMENTS COMMIS ?
Ne vous y trompez pas; on ne se moque pas de Dieu! Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera aussi Galates 6:7 . Tant de femmes avortent, associées à elles, des hommes irresponsables, des médecins inconscients et des compagnies malsaines qui sont tous autant fautifs qu’elles et ne sont aucunement épargnés de toutes les conséquences spirituelles de l’avortement. Tout péché commis a des conséquences, même si Dieu nous le pardonne. L’ennemi le sait très bien, c’est pour cela qu’il arrive à détruire la vie de plusieurs en leur faisant croire qu’il n’y a aucune conséquence de pécher. L’avortement est un péché grave, car il est l’assassinat d’être humain innocent. En plus des conséquences physiques qu’il peut avoir sur la vie de celui qui le pratique, il a des conséquences spirituelles très redoutables sur la vie de tous ceux qui y ont participé au moins une fois. LES PROBABLES CONSEQUENCES PHYSIQUES DE L'AVORTEMENT - Risque de décès de la mère ; les causes du décès sont variées ( perforations utérines, embolies pulmonaires, accidents d’anesthésie, troubles graves de la coagulation, péritonites, sans oublier les suicides ), -Troubles de la santé chez la femme ; elle peut souffrir de ( perforation utérine, déchirure du col de la matrice, rétention placentaire suivie d’hémorragie ou d’infection locale ou généralisée), - Risques pour les grossesses ultérieures ; suite à la fabrication d'anticorps, on peut assister à une augmentation du risque du taux de grossesses extra-utérines , une augmentation de la proportion des fausses couches et des naissances prématurées due à des lésions du col de l’utérus, - Risque de stérilité; Il est prouvé que 50 % des stérilités sont consécutives aux avortements provoqués. Ce sont surtout les adolescentes et les femmes qui se font avorter lors d’une première grossesse qui en sont atteintes ; plus tard, lorsqu’un enfant est réellement désiré, la conception se révèle impossible. - Irrégularités menstruelles, pertes accrues et rapports sexuels douloureux : Les gynécologues constatent qu’un nombre croissant de femmes viennent les consulter pour des irrégularités menstruelles, pertes accrues, rapports sexuels douloureux, comptant également parmi les conséquences de l’avortement. Autres risques: fièvre, déshydratation, embolisation du tissu blastique, éruptions cutanées, toxémie et hypertension, irrégularité menstruelle, rapports sexuels douloureux, spasmes bronchiques. Enfin un accroissement significatif du risque du cancer du sein conséquent au bouleversement hormonal causé par l’arrêt brusque et prématuré de la grossesse.
LES CONSEQUENCES SPIRITUELLES DE L'AVORTEMENT Je ne peux me permettre de précéder dans cette partie le mot « conséquences » du mot « probables » car, physiquement une personne peut ne pas avoir de séquelles après un avortement, mais cela n’est pas le cas spirituellement parlant. L’ennemi ne laisse aucun péché passer, il saisit toute occasion. toute faille spirituelle pour agir dans la vie du pécheur. L’avortement a des conséquences spirituelles graves sur la vie de tous ceux qui sont concernés mais particulièrement sur la vie des mères qui avortent. La pratiquer, est la porte ouverte à divers esprits malins ayant pour but d’avilir l’âme pécheresse : - la pauvreté, le célibat, - la mort spirituelle, - la Stérilité dans le spirituel, - les maladies incurables, - la possession par un démon, - les malédictions incompréhensibles, - le fait d’attrister le Saint-Esprit et/ou la possibilité de L’éteindre, etc... COMMENT SE DELIVRER DE CES CONSEQUENCES ? Pour les conséquences physiques , si elles ne sont pas assez graves, elles peuvent être soignées par les plantes mais dans plusieurs cas, il n y a pas d’issues de restaurer physiquement ce qui a été détruit volontairement. Pour les conséquences spirituelles, la femme qui a déjà avorté ou l’homme qui a déjà participé à un avortement, a besoin de reconnaître son tord car l’avortement a des séquelles spirituelles très profondes. Pour cela, un travail spirituel de fond doit être fait … Les concernés doivent sérieusement se répentir, ne plus recommencer puis demander la miséricorde de Dieu. ... Dieu fait grâce et faveur aux cœurs répentants et sincères et sii nous reconnaissons nos péchés, il est fidèle et juste et pourra donc nous les pardonner afin de nous purifier de toute iniquité (1 Jean 1:9 .) TRAITEMENT PAR LES PLANTES POUR DEMANDER LE PARDON ET ETRE PARDONNÉE . INGREDIENTS - Savon noir (uniquement), - Écorce d' ekebergia capensis, - Feuille de calotropis procera (le Pommier de Sodome en français ) Comment s'y prendre ? - Piler dans un mortier, les écorces et la feuille du Pommier de Sodome, - Y additionner le savon noir et les mélanger. Que faire avec ? Prendre votre bain (au coucher) avec ce savon et une nouvelle éponge tout en évoquant vos souhaits (demandant clémence au Tout-Puissant de vous pardonner de cet acte commis ) Faites ce bain durant 16 jours et vous serez purifié(e)s et pardonné(e)s. Wossou Dogboli Contactez moi WhatsApp ou appelez 0022969102375
http://voyant-wossou-grand-marabout.e-monsite.com/ Que les bénédictions soient....
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DÉFAITES DE NOËL
Je songe aux veufs et aux veuves qui, en famille, ou ce qu’il en reste après décompositions et recompositions, sourient et donnent le change, ont acheté des cadeaux, en offrent et en reçoivent, boivent du champagne et dévorent de la bûche, avalent de la dinde au marron et se gavent de foie gras, mais passeront la soirée, au milieu du bruit, en présence de l’absent qui, plus que tout autre présent ce soir-là, sera le présent essentiel: la mort c’est la présence douloureuse et lancinante de l’absent.
Je songe aux parents qui ont perdu leur enfant, quel que soit l’âge: un cancer, un accident de voiture ou de moto, un suicide, un arrêt cardiaque, un AVC fatal, une rupture d’anévrisme. Il y aura des cris de joie d’enfants ou de petits enfants, mais là aussi, là encore, on songera au dernier Noël avec celle ou celui qui n’est plus là et dont le visage pris par la mort ne cessera de hanter la soirée du parent affligé par un douleur telle qu’aucun nom n’existe pour la nommer – on dit veuve ou veuf pour qui perd sa femme ou son mari, orphelin pour qui perd ses parents, mais rien pour la souffrance d’un parent privé de son enfant : perdre un enfant c’est se perdre sans retour.
Je songe à ceux qui ont perdu un père, une mère, un grand-père, une grand-mère et qui, années après années, voient les rangs de la table familiale s’éclaircir parce que les anciens laissent des places vides. Les grands-pères hélas devenus papys, les grands-mères devenus hélas mamies, quand ce ne sont pas des sobriquets tous plus ridicules les uns que les autres, du genre maloum ou papoum, qu’on a vus se fatiguer, vieillir, s’effondrer, puis partir, seront là quand on regardera furtivement la place qu’ils occupaient l’année d’avant dans le fauteuil et dont ils s’étaient relevés avec tant de peine: les vieux nous donnent des leçons, ils nous précédent.
Je songe à ceux qui sont en train de perdre l’un d’entre eux, un mari ou une femme, un compagnon ou un compagne, un fils ou un fille, un grand-père ou une grand mère, et qui, dans un lit d’hôpital ou fragilement assis autour de la table de fête, savent qu’ils passent là leur dernier Noël mais sourient tout de même en acceptant les cadeaux de bonne grâce tout en mesurant l’étendue de la vanité de toute chose alors qu’ils se trouvent aux portes du néant: le néant s’accompagne ce soir-là de son terrible silence .
Je songe aux parents fâchés avec leurs enfants ou aux enfants fâchés avec leurs parents, chacun dans leurs coins, recuisant de vieilles haines, remâchant d’antiques différends, ruminant d’anciens reproches, tournant dans leurs cervelles abîmées de mauvaises querelles, de fausses offenses, incapables les uns ou les autres de faire les concessions qui permettraient au moins de sauver ce qui peut l’être le soir d’une fête où se trouve célébrée la naissance d’un enfant qui, dit-on, devenu homme, enseignera l’amour du prochain et le pardon des fautes: la haine salit qui hait.
Je songe aux divorcés qui imposent à leurs enfants des soirées séparées, une année chez l’un, une année chez l’autre, avec de nouvelles parentèles mais surtout de nouvelles fratries, privant l’un et l’autre de la joie d’être ensemble par incapacité à réussir une séparation qui devrait au moins permettre aux enfants de disposer de leurs deux parents et de leurs nouveaux beaux parents réunis: un divorce peut désunir un couple, il ne devrait jamais désunir ce qui, en lui, fut à l’origine des enfants.
Je songe aux beaux-parents privés d’un gendre aimé ou d’une belle-fille chérie, l’un étant devenu avec le mariage un nouveau fils et l’autre une nouvelle fille, mais à qui les divorcés ont demandé du jour au lendemain à leurs parents de tirer un trait sur celle ou celui qu’ils avaient accueillis comme un nouveau membre de la famille: l’affection n’est pas une marchandise.
Je songe aux grands-parents privés de leurs petits enfants à cause de ces mêmes divorces qui, après les lois de l’amour imposent celles de la haine et font d’un petit-fils ou d’une petite-fille un otage affectif sans aucun souci des conséquences pour la construction de son identité d’un être qui se trouve privé d’une partie constituante de son affectivité. Quand on chosifie les êtres pris et jetés comme des mouchoirs sales, on ne peut s’étonner de voir un jour l’enfant devenu grand procéder comme on le lui aura appris en le lui montrant: le mépris s’enseigne aussi bien que la bonté.
Je songe aux amants et aux maîtresses qui prennent dans l’ombre la place laissée vacante par un mari ou un épouse devenus insoucieux de l’autre avec le temps et qui, chacun dans leur coin, ne rêvent que d’un Noël avec leurs aimés cachés, loin de la fête dans laquelle ils se trouvent –avant, s’ils devaient passer à l’acte, de découvrir que d’autres Noëls avec leurs anciens partenaires devenus leurs nouveaux, génèrent les mêmes ennuis et les mêmes faux-semblants avec des familles recomposées qui restent, quoi qu’on en dise, des familles décomposées: une porcelaine raccommodée ne l’est que de fragments cassés.
Je songe aux anciens avancés en âge qui ne sont pas sans songer que l’année suivante, le repas aura peut-être lieu sans eux et que c’est peut-être leur denier Noël sur cette terre en songeant avec mélancolie à ce qu’ont été les lointains Noëls de leur enfance. Le regard et l’âme déjà un peu ailleurs, parfois non loin de leurs morts, sinon déjà avec eux, ils sont là, autour de cette table bruyante, sans y être tout en y étant: les plus présent sont parfois les absents.
Je songe aux jeunes homosexuels qui n’ont pas encore dit à leurs parents qu’homme ils aimaient les hommes ou femmes qu’elles aimaient les femmes et qui sourient chaque année, un peu embarrassés, quand l’un des convives leur dit immanquablement: "alors quant est-ce que tu nous présentes ta copine?" (ou "ton copain" c’est selon!) La famille est un nœud de vipères.
Je songe aux homosexuels qui ont dit, eux, à leurs parents, qu’ils l’étaient et qui ont été de ce fait soit priés de venir seuls, soit sortis de la vie de leurs ascendants qui disaient pourtant depuis toujours que ça ne leur poserait aucun problème que leur enfant soit homosexuel, sauf le jour où ils ont appris que c’était le cas. Idem avec le compagnon ou la compagne maghrébin ou black, juif ou musulman. Il y a loin de la coupe aux lèvres.
Je songe à celle qui sait que le géniteur de son enfant n’est pas le père qui, lui, ignorant la chose depuis toujours, regarde de façon émerveillée l’enfant d’un autre, cet autre sachant quant à lui que sa progéniture vit cette fête en ignorant tout cela dans les bras d’un autre homme qui se croit son père. Je songe aussi à ces familles où tout le monde sait que le père n’est pas le père, sauf lui et l’enfant qui se réjouissent de la soirée. Les vérités d’alcôves sont les plus cruelles.
Je songe à ceux qui portent d’autre secrets, pas forcément de famille, mais à qui un médecin a annoncé une maladie incurable, voire une espérance de vie limitée à quelques mois et qui, par amour pour les leurs, pour différer un terrible chagrin qui ne manquera pas de venir, n’en disent rien et lèvent leur coupe de champagne vers le ciel en sachant que ce sera la dernière fois. La vraie grandeur se trouve dans les petites choses.
Je songe à ceux qui seront seuls, invités par personne, oubliés, délaissés, abandonnés comme les chiens attachés à un arbre avant de partir en vacances pour ne pas s’encombrer la vie. Ils regarderont à la télévision une émission enregistrée un mois plus tôt, ils mangeront une tranche de jambon partagée avec leur chat ou leur chien. Leur téléphone ne sonnera pas. Ils iront s’endormir de bonne heure en priant pour que le deux janvier de l’année suivante arrive le plus vite possible car ils n’ignorent pas que le 31 décembre répétera ce cauchemar de Noël. Parfois des vivants sont déjà morts.
Je songe à ceux qui, attirés par le chant des sirènes du capitalisme européen, ont risqué leur vie pour traverser la méditerranée en espérant un El Dorado français qui s’avère un Enfer et qui, sans toit, sans table, sans pain, sans famille, sans argent, se retrouveront dans un hall d’immeuble avec des SDF pour chercher l’endroit où le froid se fera le moins vif ou sous des bâches en plastique non loin des périphériques boueux et pollués. Nombre de rêves conduisent aux enfers.
Je songe à ces prostituées et prostitués qui avaient rêvé d’une autre vie et se sont perdus dans le labyrinthe où ils monnayent leur corps à des misérables en quête ce soir-là d’une petite mort tarifée à l’issue de laquelle à la mélancolie et le désespoir qui les auront conduits là s’ajouteront le dégoût et le mépris de soi. L’addition de deux misères ne suffit pas à créer un bonheur.
Je songe à ceux qui travailleront dans les hôpitaux, les commissariats, les gendarmeries, les morgues, les casernes de pompier et à leurs familles amputées de ceux qui annonceront à d’autres familles qu’elles sont elles aussi amputées par un accident, une mort, une catastrophe, une violence. La fête est parfois celle de Thanatos.
Je songe aussi à ceux qui travailleront pour le bonheur des autres dans les hôtels, les aéroports, les gares, les avions, mais aussi dans les restaurants, les cabarets, les cinémas, les clubs, les théâtres et autres endroits où l’on va cuver sa solitude sans trop en avoir l’air et qui, eux aussi, seront privés des leurs qui fêteront Noël sans eux. Les solitudes ajoutées augmentent la solitude.
Je songe à ceux qui, en ouvrant leurs cadeaux, détesteront ceux qui les leur auront offerts et n’auront de cesse de refourguer le tout sur un site de revente engorgé pendant plusieurs heures avec ces livres déjà lus par la personne qui les offre, ces disques déjà écoutés, ces vêtements déjà portés, voire ces objets achetés en solde au plus petit prix, l’étiquette y est encore parfois, mal arrachée, sinon récupérés chez Emmaüs ou dans un vide-grenier, sans oublier les chocolats saturés de sucre des grandes surfaces. On ne donne pas ce que l’on a mais ce que l’on est.
Je songe trop…
Il y aura aussi des rires d’enfants, cela ne durera pas, mais c’est probablement le moment de grâce qui justifie cette soirée anniversaire d’un Jésus qui n’a jamais existé historiquement mais qui a pourtant fait tant de bruit dans l’histoire de l’Occident et plus particulièrement ce soir de Noël…
Michel Onfray
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Lecture proposée 1 Corinthiens 2.1-5
Je n’ai rien voulu savoir parmi vous sinon Jésus-Christ, et Lui [comme] ayant été crucifié.
1 Corinthiens 2.2
En 1950, un cancer généralisé fut dépisté chez ma mère. Elle ne réclama ni l’imposition des mains, ni la guérison. Elle voulut seulement attester, avec les anciens de l’église, la conviction que, si Dieu le voulait, il pouvait la guérir. Elle s’éteignit 52 ans plus tard, âgée de 100 ans.
Alors que j’avais envron 6 ans, Le médecin prévint les miens que je ne passerais pas la nuit. J’aurai bientôt 96 ans. Je suis donc bien placé pour savoir que Dieu peut guérir aujourd’hui encore, même les cas humainement désespérés… s’Il le juge bon, bien sûr, et sans mise en scène ou mise en condition.
Comment ne pas être troublé quand des prédicateurs prêchent la guérison au lieu de la croix ?
Après les apôtres, Paul aussi prêcha la proximité du règne messianique, et sa prédication était accompagnée de guérisons tout aussi extraordinaires au point que l’application de linges qui avaient touché son corps, suffisait à les opérer, et que les démoniaques étaient délivrés.
Or, même à cette époque où Israël avait encore la priorité, loin de prêcher le miracle, Paul ne voulait savoir que Jésus-Christ. Non un Jésus guérisseur, mais un Jésus qui avait été crucifié. En d’autres termes, il prêchait l’œuvre de la rédemption : le pardon des péchés en réponse à la repentance.
Soyons en garde contre toute prédication qui ne serait pas d’abord celle-là. Il peut s’agir d’un piège dans lequel la vérité doit nous garder de tomber.
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* Actes 19.11,12
https://douliere.wordpress.com/2024/09/11/un-crucifie-pas-un-guerisseur/
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Lundi 1 avril 2024 A quoi bon croire en la résurrection ?
“Si Christ n’est pas ressuscité, alors notre prédication est vaine, et votre foi aussi est vaine.” 1 Co 15. 14
Croyez-vous que Jésus est mort sur la croix ? Croyez-vous aussi que Jésus est ensuite ressuscité des morts le dimanche de Pâques ? En quoi cette connaissance est-elle importante dans votre vie ? Au point de vous être repenti devant Dieu de vos péchés et d’avoir décidé de donner à Jésus la première place dans votre vie et de Le laisser la conduire selon Sa volonté ? Quand Jacques écrit : “ Veux-tu avoir la preuve que la foi sans les actes ne sert à rien ?” (Jc 2. 20), il ne prétend pas que le salut soit fondé sur la foi accompagné par de bonnes œuvres. Loin de là ! Mais si vous affirmez croire en la résurrection du Christ tout en vivant comme n’importe quelle personne non-croyante, votre “foi” n’est d’aucune valeur. Il y a plusieurs années un cancérologue célèbre aux Etats-Unis, le Dr Paul Adkins fit une radio de ses propres poumons et découvrit qu’il était atteint d’un cancer des poumons, inopérable et difficilement traitable. Quatre mois plus tard il était mort, à l’âge de 55 ans. Or il fumait depuis sa jeunesse près de deux paquets de cigarettes par jour. Il connaissait parfaitement les risques qu’il prenait depuis 40 ans, mais comme sa mère était morte très âgée après avoir fumé autant que lui, il s’imaginait qu’il pouvait faire de même sans plus de conséquences. Le Dr Adkins connaissait le danger du tabagisme, mais n’avait pas voulu changer son mode de vie. Si vous croyez que Jésus est mort sur la croix et qu’ensuite Il est ressuscité, c’est bien, mais cela ne suffit pas à vous sauver si vous continuez à vivre de la même manière qu’avant ! Votre “foi” est futile, car rien n’a changé dans votre vie. La seule réponse valable à cette “connaissance” est la repentance devant Dieu et la demande de Son pardon. Si vous dites : “je crois en Jésus mon sauveur” et continuez à vous comporter comme tous les non-croyants que vous connaissez, vous ressemblez à ce chirurgien cancérologue qui connaissait les dangers du tabagisme, sans vouloir pourtant changer son mode de vie de manière radicale. Si vous croyez que Jésus est ressuscité, prouvez-le par votre mode de vie !
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la bonne idée
j’avais 18 ans donc s’étais l’année dernière ma maman qui est enceinte me ramène avec ma sœur chez elle. elle s'arrête a un stop puis me regarde dans les yeux et dit :
“écoute on en a parler avec ton beau père et on te laisse le choix sois tu peux rester dans ta chambre et on le mets dans la chambre de ta petite sœur (pas la même qui est dans la voiture avec moi) ou alors on te mets a la cave”
devant ça je devais réfléchir pauser le pour et le contre enfin vous voyez quoi, bref donc si je reste dans ma chambre mon petit frère devras dormir avec ma petite sœur (bon en vrais je devrais dire mon demi frère et ma demi sœur ) ils n’on que 5 ans de différence j’ai bien vécu avec ma sœur pendant 4 ans dans la même chambre et on va bien les deux mais bon elle est jeune ma sœur il risque de pleurer. pour tout vous dire j’hésitais a dire oui pour aller dans la cave mais le problème je ne connais pas notre cave sa ne faisais que 2-3 mois que on avais emménager et j’avais déjà changer de chambre avec ma plus jeune sœur et surtout bas je bossais déjà a se moment la donc je passais pas mes journées a la maison puis surtout cette cave faisais flipper j’ai beau être un peux courageux je me sentais jamais a l’aise en bas j’y allais donc jamais donc j’ai dit a ma maman:
“laisse moi voir la cave et dit moi ou serais ma chambre”
elle ma dit “d’accord” puis on es rentrer et je suis aller dans la cave encore avec la boule au ventre pour expliquer en gros ma cave est un peux différente d’une cave normal on a en gros 3 pièce en bas et un espèce de couloir qui les relit tous on a donc en bas un abris atomique qui est glauque a en mourir dedans il fait froid la porte blinder est toujours ouverte et a moins d’être dedans on ne voie pas la lumière, comment dire.. sais comme si la pièce ne pouvais pas être trop éclairer et sais pas a cause de l’ampoule on a déjà vérifier mais bref elle fait vraiment peur sais très très sombre avec la lumière activer alors imaginer quand sais éteins du même coter de la cave juste un peux a coter on a la plus grande pièce mais sais une buanderie deux machine a laver une douche pauser par le proprio et surtout une porte qui mène a notre jardin cette porte impossible a la fermer a clés donc n’importe qui peux rentrer mais surtout se serais vraiment très facile avoir que sais l’endroit ou faux rentrer pour cambrioler toute la maison a un système de sécuriser chaque porte chaque fenêtre sauf cette porte et le jardin est ouvert donc tout le monde peux voir dedans donc voir la porte bref la dernier pièce est en face des deux autre cette pièce a trois porte en tout une pour entrée une pour la chaudière a mazout et une autre pour le recevoir a mazout il y a que une mini fenêtre dans la pièce qui mène sous une grille sa sens super fort le mazout comme si il y avais une fuite il fait froid pas de radiateur le sol est geler et la pièce est petite donc bref pas fais pour être une chambre, entre temps mon beau père est rentrer et ma maman est aussi en haut avec lui je remonte donc et vien vers eux et leur explique que je ne veux et ne peux pas vivre en bas dans la cave et avant même que je finisse ma phrase mon beau père me coupe me regarde dans les yeux et me lâche un :
“car tu croix avoir le choix ? demain tu commence a descendre tes affaire”
je regarde ma maman et ne dit rien me regarde juste désoler je ne suis pas un de ses ado / jeune adulte qui se rebelle j’ai abandonner cette idée il y a des année après ma premier claque je ne suis que un jeune adulte fasse un un autre plus vieux et a se moment la j’avais encore du respect pour lui donc voila maintenant sa fait 1 ans et quelque mois mon petit frère a eu 10 mois il y a deux jours il a toujours fait ses nuits n’a jamais pleurer pour ne pas dormir en claire un bébé parfait comme ma maman le dit et moi voila 1 ans que je respire du mazout que je tombe malade quasiment toute les deux semaines que je me plein du wifi du réseaux que je n’ai pas en bas et 1 ans qu’ils sent foute j’avoux des fois je me dit que se n’ai pas grave sais comme ça et d’autre fois où je n’en peux juste plus... se n’es pas vivable dans cette cave jusque a il y a peux des goutte tombais du plafond sur mon lit j’ai dus dormir avec des seau dans mon lit j’ai pour qu’il fasse quelque chose j’ai due en faire aussi je ne pense pas que des gens approuverais se que j’ai fait mais sa changer au moins cette nuit je rentrais de chez mon père après un week-end tranquille sans aucun désagrément je suis rentrer dans cette cave effrayante dans ma chambre froide puant le mazout je me suis pauser sur mon lit a ressort sans aucun bruit et me suis allonger puis un “plok” puis deux trois quatre cinq j’ai péter les plond comme sa m’étais arriver que très rarement en tout cas quand s’étais en rapport a moi et pas a un autre je me suis lever de mon lit debout un peux baisser mon plafond étant très bas puis j’ai marteler mon plafond de coup de point gueulant des insulte puis mon mur quand j’étais calmer j’avais les main en sang je suis monter pour avoir des pansement mes parent ne m’on même pas regarder comme s’y il s’en foutait du bruit de mes coup des insulte de se que j’avais pus crier ils étais 23h a se moment la et rien que quand mon téléphone est a fond il me demande de baisser le son car on entant tout, il m’avais entendu et ils sens foutais mes main pissais le sang on pouvais me suivre a la trace sens étais assez ils se foutais de moi ? s’étais a mon tour je suis sortit des toilette et suis venu vers eux et j’ai juste dit :
“pardon du boucan hein ho ! et pour le sol aussi il est plein de sang”
ma mère sais lever étonner a regarder le sol et a soupirer en disant qu’elle allais nettoyer et ma demander pourquoi j’avais fait ça que pourtant tout allais bien dans ma vie non ? mais bien sur ! quand on sens fout de son enfant après 1 ans a se plaindre de tout se qui va mal en bas de dire qu’il pleut dans sa chambre etc etc mais oui sinon tout va bien très bien même je vais juste surement choper un cancer a force de respirer tout ça, bref après sa je les pris avec moi dans ma chambre lui ai montrer mon lit les seau mais bon elle le savais vue que elle a juste sortit un “et ?” alors je lui ai demander de se taire et d’écouter bien sur je pensais bien que pour une personne qui ne dort pas dedans pendant des mois et des mois se n’ai juste que des petit “plok” je lui ai dit après
“trouve une solution car la sois on fait un truc sois je continue a me consumer et n’y toi n’y mois veux savoir comment ça se finir”
on a déplacer mon lit dans le “couloir” contre un radiateur et pour la première fois en 1 ans j’ai dormis au chaud ici j’étais heureux mais le souci étais pas arranger au bout de 2 semaine on m’a remit dans ma chambre car sa dérangeais mon beau père de devoir faire attention le matin a 5h de faire pas de bruit pour se préparer dans la buanderie 2 semaine encore après ça donc 1 mois après que j’ai pété les plond il on changer les tuyau de la cuisine (l’eau venais de la ) sa leur a pris 5 heure a faire donc le calcule est simple pour 1 problème de fuite qui coulais jusque sur mon lit sa a pris 6 mois un pétage de plond en core 1 mois et 5 heure alors que a la base juste se dire au tien on va écouter le principale concerner et pas juste se dire baaaas sais que de l’eau ça va oui il dort en boule et on voix qu’il manque de sommeil mais sais surement un choix de vie. j’ai failli faire mon deuxième burnout je n’ai que 19 se n’es pas normal je ne vais pas continuer a me peter les main sur les mur jusqu’à que tout s’arrange....
si ?
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Le Cancer et le Pardon
Le Cancer et le Pardon sont comme l’Amour et la Haine Le cancer montre le mal au service du bien ; le Pardon .
La maladie de l’ego ; c’est bien Le cancer. Concernant les deux oppos��s ; Le cancer et le Pardon. C’est vraiment cet entêtement à se croire isolé du reste. l’incapacité de se perdre dans plus grand que soi.
Il montre non seulement combien corps et esprit sont refoulés l’un de l’autre,…
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